La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1524)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1523) -
Chapitre 3 : Un secret bien gardé -
Une vraie et réelle humiliation, totalement déroutante et pourtant si excitante à la fois !
Le Châtelain me mit Sa main sous ma gorge, maintenant fermement ainsi ma mâchoire inférieure et me dit sur un ton extrêmement Dominant :
- Parfait, le chien. (Le Châtelain se dégagea et alla appuyer sur son interphone de bureau)
Walter, vient dans mon bureau
(NDLA : Ce qui se passa ensuite avec Walter dans le bureau vous est conté juste un peu plus loin dans la narration de ce chapitre
)
-
Bien, ça suffira pour aujourdhui. Maintenant que tu sais ce que tu es, tu peux te rhabiller et partir en toute sérénité. Tu sais désormais que ta destinée te ramènera à Mes pieds, inévitablement
Quant à ton projet dinstallation, tu auras toute laide nécessaire à laquelle tu as besoin
Sur la route du retour à la bastide, juste au seul carrefour du village, les gendarmes marrêtaient.
- Bonjour Monsieur, gendarmerie nationale, stoppez votre moteur et les papiers du véhicule, sil vous plait !
Je tremblais comme une feuille sous le vent, à tel point que je ne parvenais pas à sortir mon permis de conduire de mon portefeuille, tant jétais troublé et confus. Le gendarme attendait un temps, patiemment, mais au bout de quelques minutes, voyant mon agitation grandir, il me demandait de sortir de ma voiture.
- Ça ne va pas Monsieur ?
- Si, je vais
enfin je suis, comment dire
un peu surpris dêtre arrêté ici.
- Cest juste un banal contrôle de papiers, mais vu votre état émotionnel, nous allons devoir faire un contrôle dalcoolémie et aussi à la consommation de stupéfiants. Avez-vous consommé de lalcool ou de la drogue, Monsieur ?
- Non !
Je parvenais à lui tendre enfin mon permis de conduire, ma carte dimmatriculation du véhicule et mon attestation dassurance.
- Tout est en règle, vous pouvez repartir Monsieur, et soyez prudent vu votre état, vous semblez très perturbé. Mais doù venez-vous pour être ainsi ?
- De
du
Château du Marquis dEvans
- Du
du Château de Monsieur le Marquis ?
Ah !... Je comprends mieux, alors !
Heu
Vous pouvez partir. Jaurai su que vous veniez de là-bas, je ne vous aurais même pas contrôlé, me répondit-il lair embarrassé
Je fus très surpris que les simples mots Château du Marquis dEvans aient perturbé visiblement le gendarme, comme si ce dernier craignait le Châtelain (jappris bien plus tard que le Noble était lAmi personnel du Préfet du département, mais aussi était lAmi du chef de gendarmerie et du chef des pompiers et quIl avait également un ami ministre et dautres dans les plus hautes sphères de lEtat). Le gendarme mavait donc trouvé perturbé, le mot était faible
Je me sentais totalement ravagé, perdu, totalement ailleurs
Comment en étais-je arrivé là ? Juste pour accroitre une excitation sexuelle, juste pour satisfaire une pulsion ! Je minterrogeais à haute voix :
- Mais quest-ce quil tarrive mon pauvre Alex ?
Jétais tombé bien bas
Lautre
, comment sappelait-il déjà ? Ah oui
Walter, ce pervers, quand il est arrivé dans le bureau de Monsieur le Marquis, alors que jétais nu devant le Noble, les mains sur la tête, les cuisses écartées. Il mavait tripoté à son aise ce Majordome, dabord en me titillant les tétons, les pinçant à men faire hurler. Ses mains sétaient ensuite baladées sur mon corps nu, il mavait caressé longuement les fesses, un de ses doigts allant même simmiscer dans mon sillon anal à la recherche de mon intimité. Et moi, je métais laissé faire, sans bouger, sous le regard sérieux de Monsieur le Marquis, comme si tout cela était naturel et banal.
- Anus à la fois souple et tonique, avait commenté Walter en poussant son doigt en mon fondement
Couilles un peu remontées, mais sac ne demandant quà être façonné, avait-il ajouté après avoir manipulé et pétri mon scrotum
Nouille bien veineuse se décalottant parfaitement, beau gland avec méat souvrant facilement par une simple pression sur le bout de la queue, avait-il conclue juste avant de me poser des glaçons sur le sexe pour le faire devenir flasque. Et là
sitôt après que mon sexe se soit détendu, Monsieur le Marquis sapprocha de nouveau vers moi, et mavait posé cette chose bizarre en métal sur ma nouille, lenfermant dans une cage, verrouillant lensemble avec un petit cadenas sur lequel figurait trois initiales bien distinctes : MDE. Horrible ou délicieux moment ? Je ne pouvais répondre, une seule chose que je savais, ces deux Hommes mavaient considéré comme une bête de foire, comme un objet inanimé se laissant manipuler et apprécier par eux.
Javais le sentiment que cette cage se voyait, comme un nez au milieu de la figure. Une bosse se dessinait son mon bermuda trop étroit. Il fallait que jaille me changer au plus vite, prendre un short plus ample. Malheureusement, Louise assise dans sa cour à lombrage sous le vieux tilleul, près du portail de la propriété semblait mattendre. Lorsquelle aperçut ma voiture, elle me fit des grands signes afin que je marrête, je baissais la vitre :
- Oh Monsieur Alexandre
vous étiez chez Monsieur le Marquis ?
Venant de sa part, cette question me surprenait, elle si discrète et si effacée habituellement.
- Oui ma bonne Louise, je viens de voir Monsieur le Marquis dEvans.
- Et vous êtes revenu ?
- Comme vous pouvez le constater, cest bien moi qui suis là, devant vous, ma chère Louise.
- Suis-je bête Monsieur Alexandre, je voulais dire vous êtes revenu bien vite. Reprenait-elle confuse et déconfite.
- Jai eu tout de même un long entretien avec ce Monsieur, ma bonne Louise.
- Cest
cest que
, Louise balbutiait de plus en plus
- Oui Louise, je vous écoute.
- Cest que pour mon gâteau Monsieur Alexandre, je vous ai fait un bon pâté aux pommes, comme ceux fait par Madame Julienne, votre grand-mère. Elle mavait donné sa recette. Je vais vous le monter
ou bien attendez
, je vais aller voir, il doit être cuit, vous lemporterez.
- Ne courrez pas Louise, jai besoin de prendre une bonne douche, de me changer, je suis en sueur. Monter à partir de 17 heures, nous prendrons ensemble un thé.
- Très bien Monsieur Alexandre.
Pauvre Louise, si elle savait que Monsieur Alexandre venait de passer un long moment inoubliable et inavouable entre les mains de Monsieur le Marquis et de son Majordome, si elle savait que mon sexe était entravé pour une durée indéterminée
Brave Louise ! Que cette femme était douce, aimante et affectueuse. Son visage exprimait la simplicité, bonté, la gentillesse, le bonheur avec des yeux rieurs, un sourire toujours aux lèvres et ce besoin de faire plaisir à tout à chacun
Pourtant, je lavais vu inquiète à mattendre au portail. Jamais jusquici, elle sétait montrée curieuse, jamais je ne lavais entendu inquisitrice comme ça, et puis confuse
Je minquiétais sur son état psychique.
A 17 heures pétantes, alors que je navais pas eu le temps de prendre ma douche, mais juste enfilé un short plus large, Louise arrivait, portant à bout de bras ce pâté aux pommes quelque peu caramélisé. Je retrouvais ces odeurs dantan, ces moments partagés, cette douceur de vivre autour dun goûter proposé par ma grand-mère Julienne. Tous deux assis sur la terrasse nord, à lombre dun magnolia gigantesque planté par mon grand-père, aux feuilles luisantes et dun vert sombre et ces fleurs blanches aux senteurs délicates et miellées, jécoutais Louise me raconter des souvenirs denfance. Elle se rappelait de certains détails que moi-même avait oublié.
- Dites-moi Louise, vous paraissiez stressée tout à lheure à mon retour de chez Monsieur le Marquis.
- Oh
heu
non que diable, non
pourquoi laurai-je été ? me répondait-elle timidement, lair gêné.
Je savais quelle ne me disait pas la vérité. Je le voyais, je la connaissais trop pour ça !
- Dites-moi Louise, si vous saviez quelques choses concernant ma famille et Monsieur le Marquis dEvans, vous me le diriez, nest-ce pas ?
- Je vous ai dit tout ce que je savais sur cet Homme, un Homme riche et mécène, cest tout...
- Mais rien sur ma famille et les liens avec cet Homme, jamais mes parents mont parlé de Lui, pourtant dans la région il est très connu semble-t-il ? Dites-moi la vérité Louise, cest mon histoire personnelle, ne me cachez rien, je dois savoir.
- Je nai rien dautres à vous dire Monsieur Alexandre, dailleurs je dois vous laisser
Louise sétait relevée dun bon, je lattrapais délicatement par un poignet et lui demandait dattendre deux minutes encore.
- À la vue de votre réaction Louise, je suis intimement persuadé que vous savez certaines choses, vous me devez la vérité, je dois la connaitre, vous navez rien à craindre, je vous le promets.
- Moi aussi Monsieur Alexandre, jai promis.
- Vous avez promis quoi Louise ?
- De ne jamais rien dire.
- A qui avez-vous faite cette promesse Louise.
- A feu Monsieur Antoine, votre grand-père, Monsieur Alexandre.
- Quoi quelle soit, cette vérité vous me la devez Louise. Aujourdhui, je suis orphelin Louise, jai perdu mes grands-Parents, et mes parents, je nai plus de famille.
- Vous avez votre oncle Monsieur Alexandre, lui sait, lui seul pourra peut-être vous le dire
Louise pleurait vraiment, je la prenais dans mes bras, la serrait. Jétais bouleversé, ému aux larmes de la sentir inconsolable. Je men voulais davoir autant insisté, davoir poussé Louise dans ces retranchements.
- A mon tour de vous faire une promesse Louise, jamais plus nous naborderons ce sujet ensemble, ici ou ailleurs, je suis vraiment désolé de vous voir dans cet état. Tenez, essuyez vos larmes. Vous ne men voulez pas Louise ?
- Nullement mon très cher Alexandre, je comprends que vous avez besoin de savoir. Mais moi, jai promis et une parole reste une parole... dit-elle en se mouchant
- Ça va aller Louise pour redescendre jusquà chez vous ?
- Oui Monsieur Alexandre, ça va me faire du bien de marcher un peu
Louise me quittait, je la regardais séloigner doucement. Elle était voutée, comme si elle portait un lourd fardeau, son pas était incertain, elle sessuyait encore le visage dun revers de manches. Combien jétais confus mais aussi fier delle. Même sous mon idiote prégnance, elle navait pas cédé, elle navait rien dit, comment lui en vouloir ! Cétait une femme de grande parole et cest tout à son honneur qui inspire uniquement mon profond respect envers elle
Je constatais que nous navions pas touché au pâté aux pommes. « Je lui en descendrai deux parts ce soir, et prendrai des nouvelles » me disais-je.
Pour lheure, sans attendre une minute de plus, je devais appeler oncle Frédéric, je voulais avoir le cur net sur cette zone dombre de notre famille et de mon histoire. Le frère de mon père était snob, prétentieux, genre mas-tu vu. Il se la jouait grand bourgeois parisien, aimait flamber, un beau parleur se mettant toujours en avant, tout ce que je détestais. Avocat pénaliste de profession au barreau de Paris, il sétait fait remarquer à plusieurs procès retentissants, pour avoir défendu lindéfendable. Bref, un personnage avec qui je navais pas ou peu de relations, sauf deux fois lan, lorsque lui et tante Monique descendaient ou remontaient de leur propriété de St Rémy de Provence. Ils sarrêtaient toujours ici pour couper le voyage en deux. Sans doute, allaient-ils faire une halte sous peu. Mon prétexte pour cet appel téléphonique était donc tout trouvé, je demanderai à oncle Frédéric, sil avait des dates à me communiquer pour leur venue. Je savais que jallais avoir droit aux politesses exagérées, aux révérences habituelles, aux discours de salon, tout un art de la conversation et déchanges mondains dont je me foutais royalement. Evidemment je ne métais pas trompé, Frédéric tenait un discours dalcôve, je le laissais dire, sans même lécouter.
- Et toi, comment vas-tu mon cher Alexandre ?
- Je vais très bien, je tappelais pour deux choses
- Tu veux sans doute savoir quand est-ce que nous te rendrons visite ?
Quelle visite ! Jétais plutôt lhôtel de service qui était parfaitement situé, à proximité de lautoroute du Soleil, à mi-chemin entre Paris et St Rémy. Frédéric me donnait les dates.
- Tu seras bien là mon cher neveu, ta tante et moi-même seront tellement heureux de te revoir.
Tu parles Frédéric ! Je notais les dates et confirmais ma présence à la Bastide. Il me remerciait maintes fois, jusquà ce que je lui coupe la parole.
- Mon cher Oncle, jai une autre question à te poser ; sais-tu qui est le Marquis dEvans ?
- Le Marquis dEvans ! Oui bien sûr, un aristocrate basé à quelques kilomètres de la bastide
- Le connais-tu personnellement ?
- Moi non, mais ton père et ta mère le connaissaient très bien, je crois dailleurs quils se sont rencontrés chez Lui !
Sans lui poser dautres questions, oncle Frédéric parlait à livre ouvert, il était du genre prolixe à la discussion. Il mexpliquait quà lâge de vingt-un ans, juste après son service militaire, sur un coup de tête et après une dispute sévère avec mon grand-père, mon père, sans formation universitaire, était parti chercher du travail chez le Marquis dEvans. Il était revenu à la Bastide, sept ans plus tard, sous la pression terrible de son père.
- Ton père nest jamais revenu à la maison pendant ces sept années. Il se plaisait beaucoup au Château du Marquis dEvans, il y avait trouvé lépanouissement, nous avait-il affirmé à son retour, même si je nai jamais bien su ce quil y faisait précisément. Ton grand-père, lui, devait le savoir, il était fou de rage à chaque fois que je lui demandais sil avait eu des nouvelles. Ton grand-père était devenu impossible à vivre, toujours irrité, agressif, impulsif
Tout en écoutant mon oncle, mon cerveau se mettait en ébullition, mon bas-ventre devenait douloureux. Javais oublié la cage de chasteté que je portais, celle-ci se rappelait à mon bon souvenir. Après ce que je venais de vivre cette après-midi, jimaginais très bien ce que pouvait faire mon père. A cet instant me revenait à lesprit les mots de Monsieur le Marquis : « Tu as un réel besoin de soumission, une véritable appétence que je sais car jen connais les causes et la raison. »
- Mon père était-il retenu contre son gré, chez le Marquis ?, demandais-je
- Mais pas du tout, ton père y était très heureux et épanoui, il sestimait même être un grand chanceux et comblé. Dailleurs, lorsquil revint chez nous, Il nous présentait ta mère
- Maman, elle aussi, était employée au Château dEvans
- Je crois oui, mais je nen suis pas certain. Mais pourquoi me poses-tu toutes ces questions, tes parents ne ten ont jamais parlé
- Jamais non !
- Je crois savoir pourquoi
Le sujet était véritablement tabou chez nous, dès que je commençais à parler du Marquis dEvans, ton grand-père était comme fou, ton père disparaissait, emmenant toi et ta mère faire le tour de la propriété.
La communication téléphonique prenait fin, avec les salutations dusage qui nen finissaient pas
Inutile de dire que cette conversation, comme cette après-midi chez le Marquis dEvans mavait totalement chamboulé....
(A suivre
)
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